Dans un contexte politique où la volonté de faire taire les voix dissonantes est plus présente que jamais, l’Institut national de la consommation est aujourd’hui menacé. Alors que la direction invoque la baisse des subventions publiques (passées de 3 millions d’euros en 2016 à 1,8 million en 2020), d’autres jugent que c’est bien « l’indépendance de ton » de l’organisme qui dérangerait au gouvernement.